Bonjour William, pourrais-tu te présenter aux licenciés du BBA ?
Bonjour à tous ! Je m'appelle William, j’ai 33 ans. Je me suis installé à Arcachon après avoir passé dix ans au Canada, où j’étais pilote-instructeur d’hélicoptère dans le civil.
Aujourd’hui, petite pause dans l’aéronautique : je travaille désormais dans l’hôtellerie.

Quel est ton parcours de basketteur ?
J’ai commencé le basket à 13 ans et j’ai joué jusqu’en catégorie senior. Très vite, j’ai commencé à encadrer les jeunes dans mes clubs, d’abord en tant qu’accompagnateur, puis comme entraîneur.
Au fil des années, j’ai entraîné dans presque toutes les catégories, du mini-basket aux seniors.
Parallèlement, je me suis lancé dans l’arbitrage en région toulousaine, et j’y ai trouvé une autre façon de vivre ma passion. J’ai choisi de me consacrer davantage à cette voie, en grimpant progressivement les échelons (championnat de France jeunes et ancienne pré-nationale).

Pourquoi avoir rejoint le BBA ?
Après plusieurs années d’expatriation au Canada, j’avais envie de me rapprocher de ma famille et de me lancer dans de nouveaux projets. Je suis donc rentré en France l’été dernier, et plus précisément sur le Bassin, pour intégrer l’entreprise familiale.
J’avais aussi une réelle envie de reprendre l’arbitrage et l’encadrement des jeunes dans le basket. J’ai donc contacté le président du club pour lui présenter mon projet autour de l’arbitrage.

Qu’attends-tu de cette nouvelle saison ?
Avant tout, du plaisir, des moments de partage, des victoires bien sûr, mais surtout que chaque membre du club soit heureux de venir vivre sa passion.
Je souhaite que le basket soit un vecteur de lien, de joie, et de cohésion.
J’aimerais aussi faire découvrir l’arbitrage, à la fois aux jeunes et aux moins jeunes, et, pourquoi pas, susciter des vocations pour ce rôle souvent méconnu, exigeant, mais extrêmement formateur.
Mon objectif est également de réussir à mettre en place le projet d’arbitrage au sein du club avec la commission des officiels.

Plutôt Euroleague ou NBA ?
Euroleague, sans hésiter !

Plutôt chocolatine ou pain au chocolat ? (Attention, question piège !)
C’est un peu comme demander de choisir entre l’UBB et le Stade Toulousain…
Mais pour moi, la réponse est claire : chocolatine !